Panna cotta à l’envers…

Une petite recette toute en légèreté.

Une variation made in « Bulles de Gourmandises » de la panna cotta, sur un lit de pommes fondantes.

Panna cotta aux pommes caramélisées
et brisures de crêpes dentelles !

Temps de préparation : ≈ 15 minutes
Temps de cuisson :
• 5 minutes pour la panna cotta
• 10 à 15 minutes pour les pommes selon la variété utilisée
Pour environ : 6 gourmands

Ingrédients :

Pour la garniture :
• 3 pommes
• 30 g de sucre cristallisé
• 30 g de beurre
• 12 crêpes dentelles

Pour la panna cotta :
• 1 brique de crème fraiche allégée, soit 20 cl
• 30 cl de lait demi-écrémé ou écrémé
• 2 càs d’hermestas en poudre (ou d’aspartam)
• 1 càc de vanille liquide
• 1 càc d’agar agar

 

La recette :

Faites chauffer la crème et le lait avec la vanille liquide et l’hermestas. Lorsque votre mélange arrive à ébullition, ajoutez l’agar-agar, fouettez puis laissez blobloter une bonne minute.

C’est prêt !

Réservez au frais pendant que vous préparez vos pommes.

Epluchez et détaillez vos fruits en quartiers, recoupez-les encore en deux. Dans une poêle, faites fondre le beurre. Ajoutez vos quartiers de pommes et laissez-les cuire 5 minutes avant de les saupoudrer de sucre cristallisé.

En quelques minutes, le sucre va caraméliser. Remuez les pommes pour bien les enrober de caramel, en prenant soin de ne pas laisser votre caramel brûler. Stoppez la cuisson.

Répartissez vos pommes caramélisées dans de petites verrines. Une fois votre panna cotta prise en crème, couvrez vos pommes et saupoudrez de brisures de crêpes dentelles.

Petite astuce : pour fabriquer vos brisures de crêpes dentelles, vous enfermez une demi-douzaine de crêpes dans un sachet congélation avant de les écraser allègrement. Les autres crêpes vous serviront à la décoration de vos verrines.

Un petit tour au réfrigérateur et il n’y a plus qu’à se faire plaisir… tout en légèreté !

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Roulé boulé… Le biscuit roulé à habiller comme vous voulez!

Rien de plus facile qu’un petit biscuit roulé, vite fait, bien fait, qui va embaumer votre cuisine.

A garnir à votre convenance et à personnaliser selon vos envies, avant de déguster, hummmm !!!

Ça va encore faire des heureux !

Temps de préparation15 min
Temps de cuisson10 min environ
Pour environ : 6 gourmands

Ingrédients :

• 3 œufs d’un bon calibre (60 g de jaune et 90 g de blancs)

• 90 g de sucre

• 40 g  de farine

• 40 g de maïzena

• 40 à 50 g de beurre

• une pincée de blanc en poudre déshydraté ou à défaut quelques gouttes de jus de citron ou une pincée de sel

• 1 sachet de sucre vanillé, si votre sucre n’est pas vanillé.

Prévoyez aussi :
• un silpat ou du papier cuisson
• un torchon

La recette :

Préchauffez votre four à 180°.

Clarifiez vos oeufs (séparez les blancs des jaunes). Dans un cul de poule (ou autre), travaillez les jaunes avec 70 g de sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse.

Au robot, commencez à monter tout doucement les blancs d’œufs, avec la pincée de blanc d’oeuf en poudre déshydraté, petite astuce permettant de mieux monter les blancs en neige et de les rendre plus ferme. Augmentez au fur et à mesure la vitesse de votre robot, puis lorsque vos blancs commencent à bien prendre, y incorporer 20 g de sucre. Stoppez-les lorsqu’ils sont en neige ferme.

A l’aide d’une maryse, incorporez la farine délicatement et rapidement au mélange jaunes/sucre. Ensuite, incorporez délicatement la moitié des blancs en neige, puis la Maïzena et enfin le reste des blancs.

Faite fondre le beurre (en réserver un petit peu pour badigeonnez votre papier cuisson ou votre silpat) et incorporez le au mélange.

Placez votre silpat ou votre papier cuisson sur une grande plaque et badigeonnez avec le reste de beurre fondu. Versez la pâte dessus en essayant de la repartir uniformément afin d’obtenir une épaisseur d’environ 1cm.

Cuire au four à 180 ° pendant environ 10 minutes.

Le biscuit doit être légèrement doré sur le dessus, mais la pâte ne doit pas être trop cuite pour ne pas se dessécher.

Attention : le temps et la température de cuisson peuvent varier en fonction de votre four (à gaz, à air pulsé…) et du papier cuisson, du silpat ou de la feuille silicone utilisé.

Pendant la cuisson, placez sur votre plan de travail un grand torchon humide.

Lorsque votre biscuit est cuit, renversez le directement sur le torchon et retirez-le du silpat (ou du papier cuisson).

Etalez votre garniture (confiture, compote, pâte à tartiner, ganache, lemond curd, etc.) et roulez délicatement le biscuit.

Une fois roulé, coupez un petit morceau de biscuit en biais à chaque extrémité, il est tout de suite plus classe et ni vu ni connu, ça permet de goûter.

Un petit coup de badigeon au pinceau, trempé dans un peu de miel dilué dans une cuillère à soupe d’eau chaude, ou trempé dans un nappage abricot, un nappage miroir ou dans un peu de gelée de fruits légèrement chauffée. Puis habillez votre biscuit à votre goût !

Un joli nuage de sucre glace, un beau nappage au chocolat, des amandes grillées, de la pâte d’amande, de la pâte à sucre, tout est permis!

Roulé fourré à la confi-pote pommes dattes en habit de sucre glace.
Roulé girly, fourré d’une crème de framboise en glaçage vanillé et habit de bonbons.
Roulé fourré de pâte de spéculoos en habit de pâte à sucre 
Roulé fourré de pâte à tartiner en habit d’amandes grillés.

Les combinaisons sont infinies…
Il n’y a plus qu’à déguster… et roulez jeunesse !!!

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Pom Pom Pom… Les pommes à l’honneur !!!

Entre les pommes à cidre, les pommes à cuire et les pommes à couteau, il y aurait environ 20 000 variétés de pommes à travers le monde… Ça calme !
Alors ne rêvez pas, nous n’allons pas vous faire l’éloge de toutes les variétés… juste de celles que nous connaissons et utilisons le plus… Et c’est déjà pas mal !

Crédit photo : Photl.com

La pomme du matin éloigne le médecin… Un vieux proverbe oublié ?
Probablement pas, puisque la pomme reste le fruit le plus consommé dans notre pays.
Pas si bête les anciens, car la pomme est une excellente source d’antioxydants et de fibres alimentaires. Donc manger des pommes réduirait le risque de maladie cardiovasculaires, de cancer et d’asthme.
Bon à savoir, une pomme c’est environ 80 calories et c’est un excellent coupe-faim. Pas de quoi s’en priver !

Evidemment chez Bulles de Gourmandises, les pommes, nous avons plutôt tendance à les décliner en tartes, confitures, gâteaux et autre bricole du genre, là où les calories ne se comptent plus… mais bon, il ne faudrait quand même pas qu’elles aient poussé pour rien ces petites, ce serait dommage !

La pomme entre dans la composition de très nombreuses pâtisseries, mais aussi de préparations culinaires salées où elle apporte ce petit goût sucré apprécié de beaucoup de gastronomes. Nous la cuisinons avec le boudin noir, le rôti de porc, la volaille, nous la mettons dans les salades, etc.
Nous profitons de ses bienfaits toute l’année en compote, en gelées et confitures, en jus, dans les tartes, les gâteaux ou à croquer tout simplement.

Au-delà des phénomènes de mode, la pomme est incontournable. Alors pour celles et ceux que ça intéressent, petite remise à niveau sur les variétés de pommes les plus connues et leur utilisation les plus courantes :

• la Golden Delicious : une belle pomme dorée, la plus consommée en Europe, car résistante au transport et au séjour en chambre froide. Elle est croquante, juteuse, agréable à savourer même avec la peau. Elle se récole toute l’année et se déguste cuite ou crue.

• la Gala : une robe rouge et jaune pour une pomme bien sucrée qui se consomme crue ou cuite. Nous la trouvons de février à octobre.

• la Reine des Reinettes : quelquefois un peu sûre ou acidulée, elle est idéale pour les confitures ou les petites pommes au beurre, les tartes et les gâteaux. Elle reste malgré tout assez ferme. Nous la consommons aussi au couteau… avec un peu de pain beurré et des noix… Miam !

la Chanteclerc : entre reinette et golden, une pomme d’un jaune un peu vieillot, pleine de taches de son, délicieuse à croquer ou à cuire (nous l’adorons) ! Elle fait de superbes tartes et de bonnes pommes au four.

la Granny Smith : franchement acidulée, croquante et rafraîchissante, elle a ses adeptes. C’est la troisième pomme la plus consommée en France. Elle se déguste le plus souvent crue, mais aussi dans des recettes originales. Elle est récoltée d’octobre à avril.

• la Braedburn : ferme, juteuse, croquante, quelquefois acidulée, c’est une belle pomme rouge et jaune qui se consomme crue ou en préparation culinaire. Parfaite à croquer ou pour les tartes, elle est récoltée de septembre à mars.

la Jonagold : une grosse pomme rouge striée de vert sucrée et juteuse, parfois acidulée qui fait d’excellentes pommes au four ou crumble. Nous la trouvons de novembre à avril.

l’Elstar : une pomme rouge et jaune, à chair blanche et ferme qui fait d’onctueuses compotes. C’est aussi une bonne pomme à couteau. Elle est commercialisée de septembre à mars.

l’Idared : une pomme rouge et acidulée qui se croque avec bonheur. Elle est utilisée aussi en pâtisserie. Elle est disponible de décembre à janvier.

• la Red Delicious : sucrée et acidulée, cette belle  pomme rouge est exclusivement à croquer ou à faire en jus. Riche en antioxydants, sa récolte se fait d’octobre à avril.

la Canada grise : sa robe terne n’est pas franchement affriolante, mais c’est la pomme idéale pour les compotes, les gelées et les pommes au four. Attention, cette pomme compote à la cuisson, à éviter pour les tartes si vous voulez un joli rendu. Elle est disponible de novembre à mars.

• la belle de Boskoop : rouge, jaune ou verte, cette pomme rustique, ferme et sucrée se consomme crue ou cuite. Excellente à croquer ou à préparer en tarte. A noter qu’elle est très riche en vitamine C. Vous la trouverez de novembre à février.

Voilà, un petit tour au pays des pommes qui nous l’espèrons vous aura plu.
N’hésitez pas à nous renseigner sur d’autres variétés intéressantes et qui nous auraient échappé !

POM ! POM ! POM !
Que ferait-on sans elles ?

Crédits photo: Bulles de Gourmandises, Photl

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Coquilles entre Terre et Mer

Un petit rangement dans le frigo et entre le gruyère et le jambon… une envie.
Et si nous faisions du poisson !!!
Parfaitement illogique nous direz-vous, mais qui a dit que cuisine rimait avec logique???
Pas nous en tout cas !
Pour en revenir à nos moutons… heu ! Nos poissons… nous avons sorti deux filets de colin du congélateur… sans commentaire s’il vous plait, à une certaine heure le poissonnier est fermé… et c’est parti pour une impro maison.

Coquilles de poissons au jambon cru et aux champignons !

Temps de préparation : 15 min environ
Temps de cuisson : 15/20min à 200° (th 7/8)
Pour environ : 4 à 5 gourmets


Ingrédient :
• Deux filets de poisson blanc
• Quatre fines tranches de jambon cru, du Parme ou du Bayonne par exemple
• 500 gr de champignons, en boite ou congelés
• 1/2 jus de citron
• Sel, poivre
• Un peu de persaillotte
• 100 gr environ de gruyère râpé
• ≈60cl de crème fraîche (nous avons pris de la crème semi-épaisse allégée pour limiter les dégâts… mais nous laissons à l’appréciation de chacun)

La recette :

Emiettez la moitié d’un filet de poisson par coquille, cuit au préalable trois minutes au micro-ondes si vous avez choisi, comme nous, l’option « poisson congelé ».
Faites revenir vos champignons à la poêle avec le jus de citron. Salez, poivrez, ajoutez un peu de persaillotte (mélange persil/ail/échalote) puis 50 cl de crème fraîche.

Posez ensuite deux grosses cuillères à soupe de champignons sur le poisson, votre tranche de jambon cru coupée en fine lanière (à l’aide d’un ciseau, c’est plus facile).

Terminez par deux cuillères à café de crème fraîche. Nous vous rappelons qu’il s’agit de crème allégée… ouf! vous vous sentez tout de suite mieux!
Parsemez vos coquilles de gruyère râpé. Et hop ! Le tour est joué ! Au four les mignonnes !

15/20 minutes à 200 degrés et elles sont dorées à point nos coquilles. Nous les avons servies avec une salade de mesclun et un peu de riz.

Les enfants ont adoré ! Une façon de leur faire manger du poisson sans drame, et le côté légèrement fumé du jambon sur le mélange « poissons/champignons » a vraiment été apprécié.

Une repas plutôt simple à réaliser, mais qui a fait son petit effet.
Qu’en pensez-vous ?

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Huile de palme : 100% gras… et ça dérape !!!

Pas facile de vous faire un petit topo sur ladite huile, en totale impartialité, car bien sûr, chez Bulles de Gourmandises, nous avons beaucoup lu sur le sujet et nous nous sommes déjà beaucoup énervées.
Alors il a fallu faire du vide pour essayer de vous faire un petit billet pas trop polémiqueur et un tant soit peu sérieux. Bref, vous l’aurez compris, nous nous sommes secouées les neurones !

Pour commencer, l’huile de palme c’est une huile, c’est-à-dire 100% de gras.

En elle-même, elle n’est pas nocive et contient même à l’état brut de la vitamine A et E (vitamines détruites à la cuisson). Extraite à froid du palmier à huile, c’est l’huile la plus consommée au monde (80% dans l’agroalimentaire, 19% pour les cosmétiques, 1% pour les agrocarburants).
Traditionnellement utilisée dans les cuisines d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud, sa consommation a explosé ces dernières années dans l’industrie agroalimentaire européenne. La moitié des aliments en contiennent, car l’huile de palme apporte du moelleux aux produits et elle facilite leur conservation.

Mais alors, pourquoi cette huile fait-elle donc tant grincer des dents ?

Parce que son succès, elle le doit surtout à son faible coût, le rendement du palmier à huile est dix fois plus élevé que celui du soja, deuxième huile la plus consommée au monde, et que son exploitation est une véritable catastrophe écologique.

Les cultures d’huile de palme, telles qu’elles sont pratiquées actuellement, ont un énorme impact négatif, social et environnemental dans le monde.

Déforestations à outrance, disparitions des forêts primaires, pollutions, exploitations humaines, extinctions d’espèces (comme les Orangs-outangs), monocultures qui nuisent à la biodiversité, etc.

Et notre santé dans tout ça ? Peut-être que cette huile a des propriétés merveilleuses qui compensent tout le reste.
Même pas, c’est tout l’inverse !

L’huile de palme, raffinée ou pas, soi-disant bio ou pas, c’est avant tout de la graisse saturée très mauvaise pour la santé. Elle en contient plus que le saindoux ou l’huile de coprah. Elle est donc fortement déconseillée aux personnes qui doivent surveiller leur cholestérol… c’est-à-dire beaucoup de gens en occident (et aussi dans la famille Bulles de Gourmandises) !

Elle contient également de l’acide palmitique suspecté de favoriser les troubles cardio-vasculaires.

Bref, pas terrible !

Alors un peu d’huile de palme, oui pourquoi pas, beaucoup de gens en vivent… mais là, nous frôlons l’indigestion, car il y en a partout ! 

Nous ne vous cachons pas notre surprise en découvrant le peu d’aliments transformés qui n’en contiennent pas ! Attention ! Ça fait mal…

Souvent cachée sous un vague « huile végétale » on la trouve partout… dans tout ou presque!
Même dans les produits bio… un comble !
Plats cuisinés, chips, biscuits salés, céréales, chocolats, pâtes à tarte, pâtisseries, margarines, même celles pour le cholestérol… on croit rêver ! Bouillons cubes, gâteaux, goûters pour les enfants, brioches, petits pains, pains de mie, tous les produits Ferrero dont les fameux Kinder et le Nutella… ça, c’est un coup dur !!! La liste est trop longue et franchement ça déprime.
De nombreux médecins tirent la sonnette d’alarme, beaucoup de consommateurs s’inquiètent, mais face à cette déferlante industrielle, nous nous sentons bien impuissants.

La lutte du pot de terre contre le pot de fer ? Peut-être pas !
Certaines marques et grandes enseignes se mobilisent déjà et commencent à bannir l’huile de palme de leurs rayons, mais ils sont encore trop peu, car en temps de crise, comme tout le monde, nous faisons attention à notre porte-monnaie et… l’huile de palme ce n’est pas cher. Mais cela ne nous empêche pas d’être vigilants ! Simplement en regardant les étiquettes. Le chocolat 100% beurre de cacao, ça existe encore ! Le pain de mie sans huile de palme aussi, certaine pâte à tarte, biscuits… Nous vous invitons d’ailleurs à faire un petit tour sur le site de Rose and Cook qui a publié un article sur le sujet. Pour le découvrir, rendez-vous ici. A voir aussi : le site Vivre sans huile de palme, cliquez .

Malgré toute notre bonne volonté, nous avons clairement exprimé notre opinion. Zut ! Nous avons polémiqué… mais avouez que ce n’était pas possible autrement !

Alors l’huile de palme, dans certains produits, comme les savons ou les produits cosmétiques ou d’entretiens passe encore… mais pas dans tous nos produits de consommation courante !!!

Nous trouvons déplorable que nos enfants soient en première ligne de cette déferlante d’huile de palme dans la majorité de leurs produits préférés.
Dans dix… vingt ans… quelles en seront les conséquences sur leur santé ? Et surtout comme d’habitude, ce ne sera la faute de personne… Résolument optimistes, nous pensons qu’un peu de vigilance, de bon sens et d’information peuvent nous éviter, à tous, de futurs problèmes de santé.

Chez Bulles de Gourmandises, l’huile de palme est bannie… enfin presque, le plus possible, à chaque fois que nous le pouvons ! Eh oui ! Car pour être tout à fait honnêtes, nous ne sommes pas vraiment sûres de pouvoir supprimer totalement le Nutella, les Craquottes et quelques autres bricoles chocolatées, mais nous sommes très mobilisées et beaucoup de produits ont totalement déserté notre cuisine.

Un consommateur averti en vaut deux et plus nous serons, plus nous pourrons faire bouger les choses.

Crédits photoscepolinarspo

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Gâteau au yaourt… mais pas n’importe lequel !

« Bulles de gourmandises » ouvre le bal sur une recette on ne peut plus simple et classique.

Facile à réaliser, le gâteau au yaourt est un incontournable, pouvant se réaliser sous différentes formes, blancs montés ou non, parfumé, chocolaté, fourré, décoré…

Un gâteau au parfum d’enfance.

Souvenir de petit déjeuner en famille, de goûters gourmands, d’une grand-mère attentive qui nous l’emballait pour la route au cas où nous aurions eu encore un petit creux…

Une recette transmise de mère en fille et aujourd’hui réalisée par les enfants.

Bref notre gâteau au yaourt, c’est la recette de la Mémère… et autant vous y habituer tout de suite, la mémère, c’est du lourd en matière de recettes et vous allez encore en entendre parler !
Allez, essuyons notre petite larme d’émotion et passons à la recette !

Temps de préparation : 25 minutes
Temps de cuisson : ≈ 25 minutes (le temps de cuisson peut varier selon votre four)
Pour environ : 6 à 8 gourmands

Ingrédients :

• 1 pot de yaourt nature ou aromatisé
• 4 œufs (3 jaunes et 4 blancs)
• 2 pots de sucre
• 3 pots de farine + un peu de farine pour le moule
• 3/4 pot d’huile neutre
• Un peu de beurre pour le moule
• 1 sachet de sucre vanillé (facultatif si votre sucre est déjà vanillé comme le notre)
• 1 sachet de levure
• 1 pincée de poudre de blancs d’oeufs déshydratés ou de sel ou un peu de jus de citron
• Pour le parfum, recette de Mémère oblige, ce sera le zeste et le jus d’un citron, après il peut y avoir différentes variantes (orange, vanille, etc.)

Prévoyez aussi :
• un zesteur ou une râpe
• un presse-agrumes ou à défaut vos mains

La recette :

Beurrez et farinez votre moule. (à faire en premier, comme ça vous récupérez l’excédent de farine pour la suite).
Versez le yaourt dans un bol, puis nettoyez le pot pour l’utiliser comme mesureur pour les autres ingrédients.
Clarifiez vos oeufs. Dans un saladier, fouettez les trois jaunes avec le sucre (ainsi que le sucre vanillé si besoin) jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez ensuite le yaourt, le zeste et le jus de citron et continuez à fouetter.

Incorporez petit à petit la farine et la levure au mélange tout en remuant, puis ajoutez l’huile.

Montez les blancs en neige ferme avec une pincée de blancs d’oeufs en poudre déshydratés, en commençant à vitesse basse et en l’augmentant au fur et à mesure. Vos blancs sont prêts lorsqu’ils forment des becs d’oiseaux (placés à l’envers, ils ne tombent pas).
Commencez par assouplir le mélange précédent en y mélangeant un peu de blancs montés en neige (1 à 2 cuillères). Ensuite, avec une maryse, incorporez délicatement le reste des blancs en soulevant la préparation du fond vers la surface avec un mouvement de rotation pour ne pas casser vos blancs.

Versez la préparation dans le moule et mettez au four à 180° pendant 25 minutes environ.

Une fois cuit, sortez le gâteau du four, attendez quelques minutes avant de le démouler sur une grille et laissez-le refroidir.

Saupoudrez-le d’un nuage de sucre glace et dégustez, accompagné d’un thé, d’un café ou d’un bon chocolat chaud maison… si les enfants vous en laissent.

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